Ed Hardy l'incontournable de Melrose !!

Ed Hardy est une marque de fringue qui vient directement de Melrose Avenue Los Angeles! La marque a été crée il y a un peu plus de un an par Christian Audigier.
Christian Audigier est français , il est originaire d'Avignon! Il est déjà très connu dans le milieu de la mode car il fut l'un des créateurs de la marque Von dutch qui cartonna il y a quelques années toujours au départ de Melrose.

Le principe de Ed Hardy est très simple, c'est des fringues tatoués vendus dans des concepts store originaux, aux U.S. les stars ne jurent que par Ed Hardy! Mais aussi en France car Mr Audigier et Johnny viennent de créer ensemble une ligne "Smet" !!!
Après Melrose, l'entreprise a ouvert des stores a Dubai, Nex York, au Japon... et surement bientot en france !!!!

Los Angeles Landscapes !!

Voici quelques clichés , vous allez dire encore !!! Mais si un jour vous avez la chance de passer par cette creasy city, vous allez halluciné par l'immensité malgrès toutes les photos et reportage que vous avez vu.

UCLA by night !

Ou se passent les avant premières ?

C'est très simple deux célébres cinéma ont la chance d'acceuillir la majorité des avant premières ici à Hollywood! Elles se partagent entre Le Chinese Theater sur hollywwod bvld et Le Fox Theater qui se situe à Westwood Village. C'est dans ces deux cinéma qu'ont lieu les pre-sneaks de Miami Vice, Superman, Alexender, The Break up, .... d'ailleurs vous pouvez retrouver le calendrier des futures évenement hollywoodien à cette adresse: http://www.manntheatres.com/premieres/upcoming.php

Los Angeles, une ville, un style!

Avec ses 3,6 millions d'habitants et une superficie de 1 200 kilomètres carrés, Los Angeles n'en finit pas de s'étendre. «C'est ce que j'aime, une ville qui n'est qu'une suite de banlieues»

Entre mer et désert, L. A. s'est inventé une mode adaptée à ses besoins : beachwear, jeans et sportswear connurent ici un développement industriel précoce, attirant les acheteurs de la côte Est dès les années 20. Mais c'est Hollywood qui imposa vraiment le style L. A. dès la création de la Paramount en 1927.
La star de cinéma devint aussitôt prescriptrice de tendances.
«Le jour, on s'y habille beaucoup moins qu'à New York, explique Liliane Jossua, acheteuse et cofondatrice de Montaigne Market. Une allure qui semble décontractée mais qui est en fait très apprêtée : jeans et tee-shirts se portent avec brushing et manucure impeccables. Le soir, on sort très habillé des pieds à la tête. Entre les deux, il n'y a pas vraiment de moyen terme.» Ainsi, lorsqu'en 2004, un paparazzi a saisi une Madonna à Los Angeles en total look jogging, en Europe, on a pu interpréter cet accoutrement comme une faute de goût. Erreur : il s'agissait d'une tenue Juicy Couture, un phénomène purement local qui décline à l'envi l'éponge velours dans des teintes bonbons et qui fait florès encore aujourd'hui.

Dans une veine similaire, mais en plus sophistiqué, les vestes en molleton de Libertine affichent leurs fameuses têtes de mort en cristal Swarovski. Même engouement pour les robes imprimées «goutte de sang au microscope» de Thomas Wylde, qui égratignent l'archétype de la Californienne blonde et bronzée. Ces «rebelles» ont pour vitrine la Fashion Week de New York et celle de Los Angeles qui, deux fois par an, investit – on s'en serait douté – les studios de cinéma Smashbox, à Culver City, une banlieue de L. A.



Ici, comme on l'a dit, mode et showbiz marchent de concert. En mars dernier, par exemple, Tom Ford ne s'est pas seulement contenté de diriger le shooting du numéro de Vanity Fair consacré à Hollywood, il s'est carrément affiché en couverture, calé entre Scarlett Johansson et Keira Knightley. Très emblématique également, la marque Jovovich-Hawk née, en 2004, de la collaboration entre l'actrice Milla Jovovich et la styliste Carmen Hawk. Leur style so L. A., entre interprétations vintage – un leitmotiv là-bas – et attitude cool, a séduit la boutique Fred Segal, multimarques culte de Melrose Avenue depuis presque trente ans.

L.A.X.

Voici l'aéroport international de Los Angeles appellé LAX! Cet aéroport est immense mais sa singularité ce fait par le restaurant français au design très futuriste.
Le Voici en photo de jours comme de nuit:




http://www.encounterlax.com/

Pour etre branché à L.A., suivez ceci !

Los Angeles veut se démarquer de sa grande rivale New York qui est aujourd'hui la capitale de la branchitude! Los Angeles se dit brancher par Hollywood, mais surtout west hollywood et Melrose qui sont deux quartiers où l'on trouve des magasins de créateurs connus ou alors décalés, cherchant a se faire connaitre au monde, c'est dans ses rues que l'on trouve les boutiques Edhardy, Kittson, Madison,... Mais la branchitude ne passe pas que par les fringues. Alors premièrement si vous avez la chance d'avoir plus de 21 ans, voici les nighclubs incontournables à LA.:


Hyde Lounge
A Hollywood-style hole in the wall

Address: 8029 W. Sunset Blvd West Hollywood, 90046
Tel:(323) 656-4933
Cross Street: Crescent Heights Blvd.
Neighborhood: West Hollywood
Type:Lounges
Hours:Sun-Thu 7:30pm-2am
Fri-Sat 8:30pm-2am



Address: 8117 Sunset Blvd West Hollywood, 90069
Tel:(323) 654-0030
Cross Street: Crescent Heights Blvd.
Neighborhood: West Hollywood
Type: DJ
Hours: Tue, Thu-Sat 9pm-2am




Address: 6623 Hollywood Blvd Hollywood, 90028
te3:(323) 464-6663
Cross Street: Cherokee Ave.
Neighborhood: Hollywood
Type:Other
Hours:Wed-Sun 10pm-2am

In-the-flesh trumpeters and bongo drummers accompany the hip-hop and rap soundtrack at this Bali-inspired club, where Hollywood's hot-and-bothered crowd ogles go-go dancers wearing panties and ripped T-shirts. It's the type of place you'd expect to see Angelina Jolie do an Indonesian fertility dance for Brad Pitt.

David Judaken, who owns the Moroccan-themed Hollywood club Garden of Eden, designed Mood as a temple representing "the conflict of religion and debauchery." He stocked the 6,500-square-foot spot with exotic treasures from South Indonesia (like the ancient temple bells suspended from the ceiling) and commissioned artisans in Bali to create fixtures like the front door, carved from slabs of teak and stone, and the Shivas that sit on each side of the front bar. The main focus in the smoking lounge is the wall of candles—a convenient feature for those who forgot to bring a light. Sexy socialite Allison Melnick's A-list parties take over Wednesdays (a collaborative effort with Josh Richman and Hartwell); Velvet Crossing promotes Top-40 parties on Fridays. Then comes the weekend: Michael Sutton brings his infamous celeb-studded guest list here on Saturday nights, and bootylicious babes shake their freak-a-leaky assets on Sundays at Icon Entertainment's rap and R&B bash. What would Shiva say?—Alexandra Le Tellier

Tip: To reserve V.I.P. table service email suksun@moodla.com

Mordu des fringues !!!!!!!!!!!!

Maintenant voici pour le shopping:



address: 8100 Melrose Ave. Los Angeles, 90046
(323) 655-3734
Cross Street: N. Crescent Heights Blvd.
Neighborhood: West Hollywood
Type: Boutiques
Hours: Mon-Sat 10am-7pm
Sun 12pm-6pm

Fred Segal is the starting point for a day of classic LA celebrity-stalking. Just make sure to whip out a charge card instead of a camera.

For three decades, Fred Segal has been a hotbed of celebrity-sanctioned casualwear trends. The store buyers take chances on emerging talent, and as a result, have launched cutting-edge looks from Jared Gold, Alicia Lawhon (both former clerks here) on up to international names like Martin Margiela. Cameron Diaz, Meg Ryan and Gwyneth Paltrow have been photographed carrying the store's distinctive white bag with the red and blue logo. The store is actually a collection of boutiques, thorough which rock music blares, making it feel like a nightclub for day. Everything is eye-candy appealing, from the Earl Jeans (which also launched here) to the Marc Jacobs and Jill Stuart minidresses.

Such a Deal: Once a year, Fred Segal holds a sale usually in late September. Fifty percent off everything. Need we say more?




Address: 115 S. Robertson Blvd. Los Angeles, 90048
Tel:(310) 859-2652
Cross Street: Third St.
Neighborhood: La Brea & Miracle Mile
Type: Boutiques
Hours: Mon-Sat 10am-7pm
Sun 11am-6pm

Daddy's Little Girl

These women forged their own ways, but having famous fathers sure didn't hurt.

1. Stella McCartney
After putting Chloe back on the map, Stella McCartney broke out on her own with an eponymous line and stores. Simultaneously, she took a giant step out from the shadow of her father, former Beatle Paul McCartney.
8823 Beverly Blvd., Los Angeles | (310) 273-7051
2. Dari
Thanks to Melanie Shatner, daughter of William, Valley denizens can shop close to home for Hollywood-ready looks. Note to Trekkies: She doesn't sell memorabilia from her father's "Star Trek" days. Sorry.
12184 Ventura Blvd., Studio City | (818) 762-3274
3. Strange Invisible Perfumes
Alexandra Balahoutis offers customized scents that take into account a person's travels, favorite wines and most cherished books. Such care doesn't come cheap: The consultation and first quarter-ounce bottle of perfume run $2,100. Luckily, her stepdad producer Jerry Bruckheimer can refer his high-rolling Hollywood friends to her store.
1138 Abbot Kinney Blvd., Venice | (310) 314-1555

Till Death Do Us Part

These Hollywood wives (and ex-wives) make good on their hubbies' fame.

1. Lush Spa
Adam Carolla's wife Lynette and Jimmy Kimmel's ex-wife Gina co-own this spa with non-famous associate Kim Sudhalter. Besides the cocktail-named treatments, clients can get actual drinks too.
4251 Laurel Canyon Blvd., Studio City | (818) 506-7848
2. Kaviar and Kind
Sunrise Ruffalo, wife of actor Mark, co-owns this by-appointment-only shop with jewelry designer Katherine Azarmi-Rose. Naomi Watts, Kirsten Dunst and Mischa Barton are among some of the celebrity fans.
8533 W, Sunset Blvd., Los Angeles | (310) 659-8857
3. belle gray
Owner Lisa Rinna is married to "LA Law" heartthrob Harry Hamlin, though some might call her a celebrity in her own right (hello, "Melrose Place" and "Dancing with the Stars"). The store's official website lists Rinna's favorite items and her picks for the week.
13812 Ventura Blvd., Sherman Oaks | (818) 789-4021

All in the Family

Being known as so-and-so's [fill in familial relation here] sometimes has its perks.

1. Belle Visage
After Inez Dunst's daughter Kirsten landed a role in Interview for a Vampire, she started taking her to aesthetician Tina K for facials to combat her long hours spent in makeup. When Kirsten no longer needed a full-time momager, Inez became Public Relations Director and co-owner of Tina K's spa Belle Visage. Apparently her advice works when it comes to glowing skin.
13207 Ventura Blvd., Studio City | (818) 907-0502
2. skyla
Growing up in Hawaii together, cousins Sky Reynolds and Kelly Preston were once inseparable. Preston went on to Hollywood and married John Travolta, and Reynolds opened up her own boutique in Westwood. At the opening party, Preston brought along fellow Scientologists Danny Masterson and Erika Christensen.
1073 Broxton Ave., Los Angeles | (310) 208-2120
3. m. fredric
Fred Levine and his sister Mardi Fox opened the first m. fredric store in 1980, way before Fred's son Adam became the Maroon 5 frontman and rumored Jessica Simpson lothario. The store carries clothing Teen People readers would consider buying as soon as they finish reading about Simpson.
The Grove, 189 The Grove Dr., Suite 30 | (323) 939-9072

Rock Band Side Projects

Many musicians dabble on the side, and not just with groupies.

1. Silverlake Conservatory of Music Store
Founded by Flea of the Red Hot Chili Peppers in 2001, the Conservatory is a nonprofit organization offering instruction in singing and playing musical instruments.
3920 W. Sunset Blvd., Los Angeles | (323) 665-3363
2. Lobal Orning
More a new-wave hippie than the brooding bassist one would expect, Justin Chancellor of Tool has his own book and record shop in Topanga Canyon. He also sells artwork by Alex Grey, who also creates Tool's CD covers.
120 N. Topanga Canyon Blvd., Topanga | (310) 455-8738
3. X-LARGE
This store delivers skateboarding and hip-hop styles that represent youth culture in LA. Original investor Mike D of the Beastie Boys is still a shareholder.
1768 N. Vermont Ave., Los Angeles | (323) 666-3

Hotel:




Maintenant plasse au Bar d'hotel, comme dans toute les grandes villes du monde ils se développent beaucoup, tous plus suprenant les uns que les autres !!!!!
Voici une sélection pour L.A.:

Hip
The rooms: cool. The drinks: strong. The staff: gorgeous. The patrons: same.

1. Cameo Bar at Viceroy
In grand Colonial England-meets-Hollywood style, this chic bar fills with more locals than hotel guests.
1819 Ocean Ave., Santa Monica | (310) 451-8711

2. Bar Noir at Maison 140
With just nine tiny tables and a three-seater bar, this might be the most diminutive bar in LA. It feels like a whispered secret.
140 South Lasky Dr., Beverly Hills | (310) 281-4000

3. Stone Rose Lounge
It's hard to tell which is better looking at this trendy lounge inside the revamped Sofitel Hotel: the group of waitresses clad in cleavage-revealing black dresses or the model/actor/publicist/whatevers who hang out here.
8555 Beverly Blvd., LA | (310) 278-5444

4. boe at the Crescent
A swank Beverly Hills lobby and patio, sweet drinks, an indoor-outdoor fireplace: Lounging here is like catching up at your most stylish friend's home.
403 N. Crescent Dr., Beverly Hills | (310) 247-0505

5. The Standard Lounge on Sunset
With bubble chairs hanging from the ceiling, out-there DJing and a glass-encased live model behind the check-in desk, this is not your, um, standard deal-making hotel lobby. The pool's to the right and out the back.
8300 Sunset Blvd., Hollywood | (323) 822-3111/(323) 650-9090

Sexy
Most patrons aren't headed directly to or from one of the beds in the building. But the thought seems to flitter about the eyes of those who frequent these escapes.

1. Whiskey Blue at W Hotel
The bar is a maze of rooms, some with beds for lounging. Run by Rande Gerber, the ex-model hubby of Cindy Crawford, it's never lacking bold-faced names, or those who appear to be thanks to the extremely flattering lighting.
930 Hilgard Ave., Westwood | (310) 443-8232

2. SkyBar at the Mondrian
Long lines and a tough bouncer don't deter the faithful who try to get in here, (still!) one of the most star-studded and exclusive bars on the Strip.
8440 Sunset Blvd., West Hollywood | (323) 848-6025

3. Roof Bar at the Standard Downtown
The red pod-like waterbeds around the pool are one of the sexiest places to have a cocktail at dusk. Or on a decadent afternoon.
550 S. Flower St., Los Angeles | (213) 892-8080

4. The Lobby at Chateau Marmont
The exclusive lobby of this infamous hotel is the gateway to legend. Celebs frolic in a manner as unrestrained as possible when surrounded by semi-plebes.
8221 W Sunset Blvd., West Hollywood | (323) 656-1010

5. Tropicana Bar
If you squint really hard at this poolside celeb playground, Lindsay Lohan kind of looks like Marilyn Monroe.
7000 Hollywood Blvd., Hollywood | (323) 466-7000

Beachy
Where to go after—or instead of—sunbathing and surfing.

1. Lobby Bar at Shutters on the Beach
A few outside tables overlook the Santa Monica bike path with perfect, unobstructed views of the surf and sand. It's one of the best-kept secrets for sunset cocktails (until now, that is).
One Pico Blvd., Santa Monica | (310) 458-0030

2. Veranda Bar at Casa Del Mar
Unlike its sister hotel (Shutters, next door), this bar is inside, but the views are just as good. And here, you get plush seats and live piano music.
1910 Ocean Way, Santa Monica | (310) 581-5533

3. Veranda at the Georgian Hotel
When visiting we sit in a wicker rocking chair, order a Manhattan and watch the sun go down over the Santa Monica Bay.
1415 Ocean Ave., Santa Monica | (310) 395-9945

4. Le Troquet Terrace Bar at Le Merigot
A sophisticated lounge for cognacs, cigars, fine wines and fancy snacks just steps from the beach.
1740 Ocean Ave., Santa Monica | (310) 395-9700

5. Zinc Bar at Shade Hotel
The upscale bar at this seafoam Manhattan Beach hotel was instantly packed with hot yuppies desperate for an alternative to other local bars where "beachy" tends to conjure kegstand imagery.
1221 N. Valley Dr., Manhattan Beach | (310) 546-4995

Que serait Los Angeles sans Hollywood, ses Stars et leur fracas !!!!

Depuis le mois septembre 2005 que nous sommes arrivé dans la ville du cinéma, on a eu la chance de croiser quelques stars plus ou moins "Stars" comme par exemple:
Lindsay Lohan à Best buy dans westwood, David Charvet à la station service, Cameron diaz à la plage, Justin Timberlake à pieds sur Wilshire boulevard, Harrison Ford dans sa Porsche, même certain d'entre nous on croisait Al Pacino et même Johnny !!!!! et bien d'autres star encore à Melrose ou au avant première...........
Je vous confirme à ce niveau là on ne vous ment pas ces biens la ville des "étoiles" !!!!!!!
Voici ci dessous un aricle consacré à leurs fracas, dans cette article un plutot ludique vous retrouvez des adresses web, on vous allez pouvoir télécharger des videos qui ont un certain succés sur la société américaine !!!!

Les 400 coups de la planète people

Le pieux Mel Gibson, ivre, tient des propos antisémites au flic qui l'a arrêté. Britney Spears conduit avec son bébé sur les genoux. David Hasselhoff pète les plombs en public. Effet canicule ? C'est l'été meurtrier pour les people. Les stars disjonctent. Et les médias américains se délectent

Aux Etats-Unis, les frasques des stars provoquent une hystérie sans précédent, allant jusqu'à éclipser la guerre en Irak. Les sites Smoking Gun ou TMZ s'appuient sur leurs communautés de langues de vipère pour récolter les infos ou diffuser des vidéos filmées par des amateurs sur leurs portables. Gawker.com détaille les moindres déplacements des vedettes en récoltant les témoignages anonymes du genre : «X était dans une boîte à strip-tease hier soir», ou «Y s'est roulé un joint en bas de chez moi». Face à l'explosion des sites de gossip (potins), les médias font de la surenchère : CNN a enchaîné les breaking news (infos chocs) sur Kate Moss, top-model cocaïnomane. Il faut dire que ces derniers temps les tabloïds ont de quoi se mettre sous la dent...






Mel Gibson est un excité, Tom Cuise, un illuminé, Britney Spears est allumée... La presse, feignant de découvrir que les vedettes ne sont que de pauvres humains, se délecte de leurs écarts de conduite tout en prêchant la morale. Car le nouveau mot d'ordre à Hollywood, c'est tenue correcte exigée. Fini le temps du « sex, drug, rock'n'roll », l'heure est aux trois « r » : repentance, rédemption, réhabilitation. Le «rehab» (redevenir clean) est furieusement tendance chez les VIP, qui défilent dans les cliniques spécialisées, florissantes. La faute aux politiques ? Après l'affaire Lewinsky, Bill Clinton, aidé par un pasteur, a fait pénitence et George Bush Jr., ancien poivrot, ne jure plus que par la notion de rebirth, la « renaissance ». Les people les imitent. Ils dérapent mais se rachètent. A coups de travaux d'intérêt général ou en lisant la Bible. Hors la rédemption, point de salut.
La folie people a démarré avec l'affaire « Braniston » - les démêlés du couple Brad Pitt, Jennifer Aniston -, supplantée depuis par le cas « Brangelina », la love-story chaotique entre Brad Pitt et Angelina Jolie. Désormais, plus une semaine sans un scandale. Qu'importe le péché - montrer un sein à la télé est plus sulfureux que tenir des propos racistes -, il faut brûler les idoles, puis allumer un cierge. En France, le coup de boule de Zidane a créé la sensation. Ici aussi la presse people est en plein boom, on peut même y trouver Ségolène Royal en maillot de bain. Mais on est loin de l'hystérie anglo-saxonne. Pour longtemps ?

Coups de gueule

Mel Gibson : l’arme fatale de la bêtise

« J’ai beaucoup d’amis dans la police », a protesté Mel. Mais est-ce bien le sujet ? Après son arrestation pour excès de vitesse, début août, on lui a surtout reproché d’être antisémite. Interpellé en état d’ébriété sur une autoroute près de Malibu, une bouteille de tequila sur la banquette de sa Lexus, Gibson a demandé au policier s’il était juif, et l’aurait agoni d’injures. L’affaire, baptisée le « Mel DUI incident » (la conduite en état d’ivresse de Mel), n’est pas claire. La police refuse de dévoiler les images de l’arrestation. Le héros de « l’Arme fatale » s’est excusé pour son comportement alcoolisé mais dément tout antisémitisme. « Il ne l’est pas, assure son ami, l’acteur Patrick Swayze, il est surtout stupide. »
L’affaire pourrait porter toutefois un coup fatal à sa carrière. La chaîne ABC vient d’annuler la commande de sa série « Holocaust » et Disney ne veut plus sortir son film « Apocalypto ». Du coup, l’acteur australien passe son temps à s’excuser. Une interminable pénitence moquée à longueur de talk-shows par les amuseurs américains. Réputé sexiste, homophobe, voire anglophobe, Mel avait déjà été taxé d’antisémitisme après son refus de désavouer les thèses négationnistes de son père. Le problème, c’est que cette fois il s’est comporté comme un clochard. Pour la droite religieuse, le cocktail de boissons et d’injures est dur à avaler. Car depuis « la Passion du Christ », l’acteur-réalisateur était presque un saint. Déjà pardonné par certains leaders de la communauté juive, il pourrait bénéficier de son image d’homme pieux. Crucifié par la presse, Gibson a une porte de salut : transformer sa sortie de route en chemin de croix.

Coups de boule

Zidane : il a traité ma maman !

De la terre Adélie au Kamtchatka, nul n’ignore que lors de la dernière finale de la Coupe du Monde, Zizou a fini sa carrière sur un carton rouge infamant après avoir terrassé l’Italien Marco Materazzi. Le geste a provoqué une avalanche d’analyses et de commentaires délirants sur la signification profonde de ce banal pétage de plombs. Dans un sport gangrené par le racisme, on a d’abord craint le pire. Des experts en labiales ont lu sur les lèvres de Materazzi : « Tu es le fils d’une pute terroriste. » En fait, l’Italien avait « juste » traité « la maman et la sœur », comme l’a confirmé le capitaine des Bleus. La Fifa a condamné le retraité à… trois matchs de suspension et une poignée d’euros d’a-mende. Aux Etats-Unis, Zidane aurait dû expier pendant des semaines son coup de boule, baptisé butt-head (littéralement « tête de cul »). En France, il s’en est sorti avec une interview sur Canal+ où il a présenté de vagues excuses mais pas de regrets. Mieux, son geste a inspiré les deux tubes de l’été : « Zidane, il a frappé » et « Coup de boule ».

Ses acolytes

Les regrets de Russell Crowe, grand bagarreur, sont encore plus fréquents que les retours de Jospin dans la vie politique. L’an dernier, lors de la sortie de « Cinderella Man », où il joue un boxeur, Gladiator fait le combat de trop. A 4 heures du matin, il jette violemment un téléphone à la tête du concierge d’un hôtel new-yorkais. Maximus, son nom dans « Gladiator », est rebaptisé « Maximus Cretinus » par les médias. Humiliation : il est exhibé, menotté, sous l’œil des caméras. Penaud, il fait la tournée des plateaux télé et implore les cieux : « C’est la situation la plus honteuse de ma vie, et Dieu sait que j’ai fait des choses stupides dans ma vie. » Fin 2005, il est condamné à la prison avec sursis mais échappe à l’interdiction de travailler sur le sol américain.

Coups de fil et coups de boule, Naomi Campbell a également une prédilection pour les attaquer avec un téléphone. En 1998, le top-model cogne la tête de son assistante Georgina avec son mobile. Elle remet ça en avril dernier en jetant son portable à la tête de sa femme de chambre qui ne trouvait plus un de ses jeans. En attendant d’être jugée en septembre, Naomi a lancé une ligne de tee-shirts « Naomi hit me »… « Frappe-moi Naomi » !

En octobre 2005, Gérard Depardieu fait scandale en Italie après avoir donné un coup de boule à un paparazzi sur un marché de Florence. Gégé, dont le geste est condamné par Reporters sans Frontières, explique avoir été harcelé et assure son respect pour la presse, ajoutant : « Je connais des paparazzis qui sont très bien. »

Coups de folie

Britney Spears : ses conneries avec Sean

« Baby, baby… one more time... » C’est le refrain qui la fit connaître en 1999. Aujourd’hui, elle est l’emblème des mères indignes depuis que la Ddass américaine a lancé une enquête, après la publication de clichés la montrant au volant avec son fils Sean, 7 mois, sur les genoux, sans sa ceinture. L’affaire a, un temps, éclipsé la guerre au Proche-Orient ! Peu après, un verre à la main, elle manquait de laisser tomber le bambin en pleine rue. Face au tollé, la chanteuse a dû se justifier dans l’émission « Dateline », version américaine d’« Envoyé spécial », expliquant ces incidents par sa
volonté d’échapper aux paparazzis. Pour Britney, c’est l’effet boomerang : avec sa jupe d’écolière, ses couettes et son intention de rester vierge jusqu’au mariage, elle était un modèle pour des millions d’adolescentes. Forcément, lorsqu’elle s’est mis à fumer des clopes et à descendre des bières, elle a déchaîné les passions. L’ex-lolita est désormais le symbole de la dépravation : elle s’est mariée un soir de cuite à Las Vegas début 2004, a demandé l’annulation deux jours plus tard, puis a épousé un vague chanteur qui fume des joints... Après avoir annoncé sa retraite, la pop-star, de nouveau enceinte, songe à lancer une ligne de vêtements intitulée : « Tous les bébés sont rock’n’ roll ».

Son acolyte

Michael Jackson, déjà empêtré dans des affaires d’abus sur mineurs, a provoqué le plus gros scandale de sa carrière avec l’affaire du dangling baby (« balancement de bébé »). En novembre 2002, il tient à bout de bras son nouveau-né par-dessus le balcon d’un hôtel berlinois, pour le montrer à la foule.

Coups dans le nez

David Hasselhoff : alerte au Malibu

« Ma vie est un désastre. » C’est l’aveu qu’a fait l’acteur David Hasselhoff aux passagers du vol Londres-Los Angeles, le 27 juillet dernier. Ivre mort, le héros de « K2000 » et d’ « Alerte à Malibu » a raconté son divorce après seize ans de mariage. Une séparation chaotique : son ex-femme l’accuse de violences conjugales et le couple se dispute la garde des enfants. Soûl comme un cochon, Hasselhoff avait été évacué du stade de Wimbledon après une bagarre avec des agents de sécurité. Paradoxalement, le naufrage de l’ex-plus célèbre sauveteur du petit écran lui permet de refaire la une des journaux. Il espère retrouver un rôle dans une série et jure qu’il redeviendra clean. Il pourrait retrouver Malibu, où la célèbre clinique Promises accueille tout le show-biz dopé.

Ses acolytes

Michelle Rodriguez devait être la nouvelle sensation de la série « Lost », elle est surtout connue pour son vraie rôle de taularde. Souvent bourrée au volant, elle a été arrêtée une fois de trop à Hawaii cette année. Après avoir imputé son taux d’alcoolémie à la prise d’un antiallergique, elle a finalement plaidé coupable. Forte tête, elle a préféré aller en prison plutôt que d’effectuer des travaux d’intérêt général.
Après vingt ans d’abstinence, il a craqué. L’acteur Robin Williams (« le Cercle des poètes disparus ») s’est rendu spontanément le
10 août dans une clinique de Los Angeles pour combattre sa rechute. Et l’a fait savoir en demandant à son agent de publier un communiqué : « Robin Williams s’est rendu compte qu’il avait recommencé à boire et a décidé de prendre des mesures vigoureuses pour son propre bien-être et celui de sa famille. » Ouf.

Coups de chaleur

Tom Cruise : divan le terrible

C’est la dernière blague à la mode : qui a vu Suri, la fille de Tom Cruise et de l’actrice Katie Holmes ? Personne ? Si, Penélope Cruz. « J’ai vu Suri ! », affirme l’ex-compagne du héros de « Top Gun ». Le nouveau-né est au cœur d’une intrigue comme on n’en avait pas vu depuis le « Da Vinci Code » : l’enfant existe-t-il ? Est-il le fruit d’une insémination artificielle ? Est-il élevé dans le sous-sol d’un bunker de l’Eglise de Scientologie ? Une histoire de fous ! Cruise paie l’addition du couch incident (l’affaire du divan). Pas celui d’un psy, quoique…
En mai 2005, il saute frénétiquement sur le canapé d’Oprah Winfrey, la présentatrice du plus célèbre talk-show américain, en hurlant : « Je l’aime, je l’aime, je l’aiiiiiiiiiiime ! » à propos de sa nouvelle compagne. Même le très sérieux « New York Times » consacre un article à cette scène surréaliste. Dans la foulée, Cruise reproche à l’actrice Brooke Shields d’avoir pris des antidépresseurs pour son baby blues, il vante la médecine naturelle comme Rika Zaraï n’aurait jamais osé le faire et compare la psychiatrie à une « expérience nazie ». En avril dernier, le scientologue déclare au magazine « GQ » : « Je vais manger le placenta du bébé, c’est très nutritif. » Il aura beau expliquer qu’il s’agissait
d’une plaisanterie, sa carrière a du plomb dans l’aile. « Mission : Impossible 3 » s’est planté. Désormais il la boucle.
Ses acolytes
La canicule, qui a également sévi en Californie, a frappé l’actrice Lindsay Lohan… âgée de 20 ans. Toujours en retard sur le tournage de son nouveau film, elle a prétexté « un coup de chaleur ». Son producteur lui a adressé une lettre ouverte, menaçant de la virer : « Nous savons pertinemment que c’est parce que vous faites la fête toute la nuit que vous êtes épuisée. » Depuis, la star montante est devenue la risée de Hollywood.
En 2001, Anne Heche, comédienne lesbienne et en vogue (« 7 jours, 7 nuits » avec Harrison Ford), est retrouvée en train d’errer dans les rues de Fresno, Californie, se croyant poursuivie par un ovni. Après un séjour en psychiatrie, elle se marie avec un homme et confie sa « renaissance » lors de la sortie d’un bouquin où elle dévoile les abus sexuels dans son enfance. La soucoupe volante, on ne sait pas, mais sa carrière, elle, s’est crashée.
En juillet 2000, Mariah Carey s’invite dans un show en direct de Times Square à New York. Dans un état second, elle distribue des glaces au public, ricane bêtement puis commence un strip-tease laborieux. C’est le début d’une descente aux enfers qui la mènera en psychiatrie. « The Voice » (« la Voix ») déraille et la presse s’acharne. Dépressive, boulimique, elle collectionne les bides et se fait larguer par sa maison de disques. En 2005, après s’être fait pardonner une « grosse fatigue », elle connaît la résurrection avec « The Emancipation of Mimi », plus grosse vente de l’année aux Etats-Unis. Alléluia !

Coups de fric

Bono : charité bien ordonnée

Le leader de U2 peut redouter ce que les Américains appellent le backlash, c’est-à-dire le retour de bâton. Alors que son groupe a récolté 217 millions d’euros de gains rien qu’en 2005, son leader Bono a transféré une partie de sa fortune aux Pays-Bas pour payer moins d’impôts. Pour le chantre du commerce équitable, inlassable pourfendeur de l’égoïsme des nantis, ça la fiche mal. Idolâtré aux Etats-Unis, il a épaté la galerie en se faisant inviter en 2002 par le secrétaire d’Etat américain au Commerce lors d’une tournée en Afrique, continent dont il est un grand ami. Bono, quintessence du charité business, a été élu « homme de l’année » par le magazine « Time » en 2005 et son nom a même sérieusement été cité par la presse pour présider la Banque mondiale. Bono au Brésil avec Lula, Bono à Davos, Bono en short… Bono est partout. Des millions de fans prient pour qu’il obtienne le prix Nobel de la paix 2006. A moins qu’il ne doive d’ici là expier son évasion fiscale.

Ses acolytes

Après un passage à vide, et quelques cures de désintox, le chanteur britannique Boy George, ex-leader androgyne de Culture Club, venait à peine de renaître de ses cendres à Broadway. Et badaboum ! Une fausse déclaration de cambriolage, et le voilà condamné par un juge new-yorkais à ramasser à partir du 14 août les ordures à Manhattan.
Des rôles au côté de De Niro ou Richard Gere, une nomination aux oscars… Tout allait fort pour Winona Ryder jusqu’au jour où elle fut arrêtée pour le vol de plusieurs milliers de dollars de fringues dans une boutique chic de Beverly Hills. Millionnaire cleptomane, son procès a créé l’événement en 2002. La tornade médiatique lui a valu la sympathie d’une partie de l’opinion. Le tee-shirt « Free Winona ! » (« Libérez Winona ! ») lancé par son comité de soutien est devenu un objet culte. L’actrice s’en est tirée avec une grosse amende.

Huntington Beach

Welcome to Huntington Beach
Surf City USA


The dynamic coastal City of Huntington Beach, with its sunny Mediterranean climate and idyllic setting, is home to more than 195,000 residents. Internationally known as Surf City, Huntington Beach boasts eight miles of scenic, accessible beachfront, the largest stretch of uninterrupted beachfront on the West Coast. Tourism remains a vital part of the economy, as over 11 million visitors flock to the city during the summer, on weekends and for special events.

Our parks and recreation features one of the largest recreational piers in the world, public parks, riding stables and equestrian trails, a marina, and a wildlife preserve, and an eight-mile biking, inline skating, jogging, and walking trail along the ocean. The crown jewel of the recreation system is the wide expanse of beautiful and spacious beaches, where large crowds gather to watch professional sporting events as the U.S. Open of Surfing, AVP Pro Beach Volleyball and Van's World Championship of Skateboarding.

The quality of life in Huntington Beach is enhanced by its reputation as one of the ten safest cities by City Crime Rankings and the quality of the community services offered to its citizens. The Huntington Beach Art Center and the Huntington Beach Playhouse provide a wide variety of fine arts, and the excellent library system and numerous museums provide a strong cultural foundation. The educational system, with five city high schools and 35 elementary schools, is excellent. Huntington Beach is home to Golden West Community College. It is also a short distance to UC Irvine, Cal State Long Beach and Cal State Fullerton.

The city is located 40 miles south of Los Angeles and provides easy access to Long Beach and all of Orange county.

Fameux Denny's !!!

Ceci est la façade de Denny's "typique restaurant américain" avec son fameux double cheeseburger, qu'on apprécie souvent tard dans la nuit !!!


Ceci est la façade d'un hotel sur Ocean Drive à Santa Monica.

Weekend Malibu suite et fin !!!!