My Los Angeles !!!!!!!!!!!!!!

Voici mon premier blog qui va vous permettre de suivre ma vie à Los Angeles. Cette ville est très spéciale, elle est immense et à la fois découper en "petits" quartiers !!!! Je pense que cette ville on l'aime et à la fois on la déteste !!! L.A. est étendue sur 10452 km2 avec sa banlieue, avec 17 millions d'habitants. Par contre la densité à L.A. est de 6830 habitants au mile carré, contre 23494 à New York. La communauté hispannique représente le quart de la population totale.

Wednesday, August 16, 2006

Que serait Los Angeles sans Hollywood, ses Stars et leur fracas !!!!


Depuis le mois septembre 2005 que nous sommes arrivé dans la ville du cinéma, on a eu la chance de croiser quelques stars plus ou moins "Stars" comme par exemple:
Lindsay Lohan à Best buy dans westwood, David Charvet à la station service, Cameron diaz à la plage, Justin Timberlake à pieds sur Wilshire boulevard, Harrison Ford dans sa Porsche, même certain d'entre nous on croisait Al Pacino et même Johnny !!!!! et bien d'autres star encore à Melrose ou au avant première...........
Je vous confirme à ce niveau là on ne vous ment pas ces biens la ville des "étoiles" !!!!!!!
Voici ci dessous un aricle consacré à leurs fracas, dans cette article un plutot ludique vous retrouvez des adresses web, on vous allez pouvoir télécharger des videos qui ont un certain succés sur la société américaine !!!!

Les 400 coups de la planète people

Le pieux Mel Gibson, ivre, tient des propos antisémites au flic qui l'a arrêté. Britney Spears conduit avec son bébé sur les genoux. David Hasselhoff pète les plombs en public. Effet canicule ? C'est l'été meurtrier pour les people. Les stars disjonctent. Et les médias américains se délectent

Aux Etats-Unis, les frasques des stars provoquent une hystérie sans précédent, allant jusqu'à éclipser la guerre en Irak. Les sites Smoking Gun ou TMZ s'appuient sur leurs communautés de langues de vipère pour récolter les infos ou diffuser des vidéos filmées par des amateurs sur leurs portables. Gawker.com détaille les moindres déplacements des vedettes en récoltant les témoignages anonymes du genre : «X était dans une boîte à strip-tease hier soir», ou «Y s'est roulé un joint en bas de chez moi». Face à l'explosion des sites de gossip (potins), les médias font de la surenchère : CNN a enchaîné les breaking news (infos chocs) sur Kate Moss, top-model cocaïnomane. Il faut dire que ces derniers temps les tabloïds ont de quoi se mettre sous la dent...






Mel Gibson est un excité, Tom Cuise, un illuminé, Britney Spears est allumée... La presse, feignant de découvrir que les vedettes ne sont que de pauvres humains, se délecte de leurs écarts de conduite tout en prêchant la morale. Car le nouveau mot d'ordre à Hollywood, c'est tenue correcte exigée. Fini le temps du « sex, drug, rock'n'roll », l'heure est aux trois « r » : repentance, rédemption, réhabilitation. Le «rehab» (redevenir clean) est furieusement tendance chez les VIP, qui défilent dans les cliniques spécialisées, florissantes. La faute aux politiques ? Après l'affaire Lewinsky, Bill Clinton, aidé par un pasteur, a fait pénitence et George Bush Jr., ancien poivrot, ne jure plus que par la notion de rebirth, la « renaissance ». Les people les imitent. Ils dérapent mais se rachètent. A coups de travaux d'intérêt général ou en lisant la Bible. Hors la rédemption, point de salut.
La folie people a démarré avec l'affaire « Braniston » - les démêlés du couple Brad Pitt, Jennifer Aniston -, supplantée depuis par le cas « Brangelina », la love-story chaotique entre Brad Pitt et Angelina Jolie. Désormais, plus une semaine sans un scandale. Qu'importe le péché - montrer un sein à la télé est plus sulfureux que tenir des propos racistes -, il faut brûler les idoles, puis allumer un cierge. En France, le coup de boule de Zidane a créé la sensation. Ici aussi la presse people est en plein boom, on peut même y trouver Ségolène Royal en maillot de bain. Mais on est loin de l'hystérie anglo-saxonne. Pour longtemps ?

Coups de gueule

Mel Gibson : l’arme fatale de la bêtise

« J’ai beaucoup d’amis dans la police », a protesté Mel. Mais est-ce bien le sujet ? Après son arrestation pour excès de vitesse, début août, on lui a surtout reproché d’être antisémite. Interpellé en état d’ébriété sur une autoroute près de Malibu, une bouteille de tequila sur la banquette de sa Lexus, Gibson a demandé au policier s’il était juif, et l’aurait agoni d’injures. L’affaire, baptisée le « Mel DUI incident » (la conduite en état d’ivresse de Mel), n’est pas claire. La police refuse de dévoiler les images de l’arrestation. Le héros de « l’Arme fatale » s’est excusé pour son comportement alcoolisé mais dément tout antisémitisme. « Il ne l’est pas, assure son ami, l’acteur Patrick Swayze, il est surtout stupide. »
L’affaire pourrait porter toutefois un coup fatal à sa carrière. La chaîne ABC vient d’annuler la commande de sa série « Holocaust » et Disney ne veut plus sortir son film « Apocalypto ». Du coup, l’acteur australien passe son temps à s’excuser. Une interminable pénitence moquée à longueur de talk-shows par les amuseurs américains. Réputé sexiste, homophobe, voire anglophobe, Mel avait déjà été taxé d’antisémitisme après son refus de désavouer les thèses négationnistes de son père. Le problème, c’est que cette fois il s’est comporté comme un clochard. Pour la droite religieuse, le cocktail de boissons et d’injures est dur à avaler. Car depuis « la Passion du Christ », l’acteur-réalisateur était presque un saint. Déjà pardonné par certains leaders de la communauté juive, il pourrait bénéficier de son image d’homme pieux. Crucifié par la presse, Gibson a une porte de salut : transformer sa sortie de route en chemin de croix.

Coups de boule

Zidane : il a traité ma maman !

De la terre Adélie au Kamtchatka, nul n’ignore que lors de la dernière finale de la Coupe du Monde, Zizou a fini sa carrière sur un carton rouge infamant après avoir terrassé l’Italien Marco Materazzi. Le geste a provoqué une avalanche d’analyses et de commentaires délirants sur la signification profonde de ce banal pétage de plombs. Dans un sport gangrené par le racisme, on a d’abord craint le pire. Des experts en labiales ont lu sur les lèvres de Materazzi : « Tu es le fils d’une pute terroriste. » En fait, l’Italien avait « juste » traité « la maman et la sœur », comme l’a confirmé le capitaine des Bleus. La Fifa a condamné le retraité à… trois matchs de suspension et une poignée d’euros d’a-mende. Aux Etats-Unis, Zidane aurait dû expier pendant des semaines son coup de boule, baptisé butt-head (littéralement « tête de cul »). En France, il s’en est sorti avec une interview sur Canal+ où il a présenté de vagues excuses mais pas de regrets. Mieux, son geste a inspiré les deux tubes de l’été : « Zidane, il a frappé » et « Coup de boule ».

Ses acolytes

Les regrets de Russell Crowe, grand bagarreur, sont encore plus fréquents que les retours de Jospin dans la vie politique. L’an dernier, lors de la sortie de « Cinderella Man », où il joue un boxeur, Gladiator fait le combat de trop. A 4 heures du matin, il jette violemment un téléphone à la tête du concierge d’un hôtel new-yorkais. Maximus, son nom dans « Gladiator », est rebaptisé « Maximus Cretinus » par les médias. Humiliation : il est exhibé, menotté, sous l’œil des caméras. Penaud, il fait la tournée des plateaux télé et implore les cieux : « C’est la situation la plus honteuse de ma vie, et Dieu sait que j’ai fait des choses stupides dans ma vie. » Fin 2005, il est condamné à la prison avec sursis mais échappe à l’interdiction de travailler sur le sol américain.

Coups de fil et coups de boule, Naomi Campbell a également une prédilection pour les attaquer avec un téléphone. En 1998, le top-model cogne la tête de son assistante Georgina avec son mobile. Elle remet ça en avril dernier en jetant son portable à la tête de sa femme de chambre qui ne trouvait plus un de ses jeans. En attendant d’être jugée en septembre, Naomi a lancé une ligne de tee-shirts « Naomi hit me »… « Frappe-moi Naomi » !

En octobre 2005, Gérard Depardieu fait scandale en Italie après avoir donné un coup de boule à un paparazzi sur un marché de Florence. Gégé, dont le geste est condamné par Reporters sans Frontières, explique avoir été harcelé et assure son respect pour la presse, ajoutant : « Je connais des paparazzis qui sont très bien. »

Coups de folie

Britney Spears : ses conneries avec Sean

« Baby, baby… one more time... » C’est le refrain qui la fit connaître en 1999. Aujourd’hui, elle est l’emblème des mères indignes depuis que la Ddass américaine a lancé une enquête, après la publication de clichés la montrant au volant avec son fils Sean, 7 mois, sur les genoux, sans sa ceinture. L’affaire a, un temps, éclipsé la guerre au Proche-Orient ! Peu après, un verre à la main, elle manquait de laisser tomber le bambin en pleine rue. Face au tollé, la chanteuse a dû se justifier dans l’émission « Dateline », version américaine d’« Envoyé spécial », expliquant ces incidents par sa
volonté d’échapper aux paparazzis. Pour Britney, c’est l’effet boomerang : avec sa jupe d’écolière, ses couettes et son intention de rester vierge jusqu’au mariage, elle était un modèle pour des millions d’adolescentes. Forcément, lorsqu’elle s’est mis à fumer des clopes et à descendre des bières, elle a déchaîné les passions. L’ex-lolita est désormais le symbole de la dépravation : elle s’est mariée un soir de cuite à Las Vegas début 2004, a demandé l’annulation deux jours plus tard, puis a épousé un vague chanteur qui fume des joints... Après avoir annoncé sa retraite, la pop-star, de nouveau enceinte, songe à lancer une ligne de vêtements intitulée : « Tous les bébés sont rock’n’ roll ».

Son acolyte

Michael Jackson, déjà empêtré dans des affaires d’abus sur mineurs, a provoqué le plus gros scandale de sa carrière avec l’affaire du dangling baby (« balancement de bébé »). En novembre 2002, il tient à bout de bras son nouveau-né par-dessus le balcon d’un hôtel berlinois, pour le montrer à la foule.

Coups dans le nez

David Hasselhoff : alerte au Malibu

« Ma vie est un désastre. » C’est l’aveu qu’a fait l’acteur David Hasselhoff aux passagers du vol Londres-Los Angeles, le 27 juillet dernier. Ivre mort, le héros de « K2000 » et d’ « Alerte à Malibu » a raconté son divorce après seize ans de mariage. Une séparation chaotique : son ex-femme l’accuse de violences conjugales et le couple se dispute la garde des enfants. Soûl comme un cochon, Hasselhoff avait été évacué du stade de Wimbledon après une bagarre avec des agents de sécurité. Paradoxalement, le naufrage de l’ex-plus célèbre sauveteur du petit écran lui permet de refaire la une des journaux. Il espère retrouver un rôle dans une série et jure qu’il redeviendra clean. Il pourrait retrouver Malibu, où la célèbre clinique Promises accueille tout le show-biz dopé.

Ses acolytes

Michelle Rodriguez devait être la nouvelle sensation de la série « Lost », elle est surtout connue pour son vraie rôle de taularde. Souvent bourrée au volant, elle a été arrêtée une fois de trop à Hawaii cette année. Après avoir imputé son taux d’alcoolémie à la prise d’un antiallergique, elle a finalement plaidé coupable. Forte tête, elle a préféré aller en prison plutôt que d’effectuer des travaux d’intérêt général.
Après vingt ans d’abstinence, il a craqué. L’acteur Robin Williams (« le Cercle des poètes disparus ») s’est rendu spontanément le
10 août dans une clinique de Los Angeles pour combattre sa rechute. Et l’a fait savoir en demandant à son agent de publier un communiqué : « Robin Williams s’est rendu compte qu’il avait recommencé à boire et a décidé de prendre des mesures vigoureuses pour son propre bien-être et celui de sa famille. » Ouf.

Coups de chaleur

Tom Cruise : divan le terrible

C’est la dernière blague à la mode : qui a vu Suri, la fille de Tom Cruise et de l’actrice Katie Holmes ? Personne ? Si, Penélope Cruz. « J’ai vu Suri ! », affirme l’ex-compagne du héros de « Top Gun ». Le nouveau-né est au cœur d’une intrigue comme on n’en avait pas vu depuis le « Da Vinci Code » : l’enfant existe-t-il ? Est-il le fruit d’une insémination artificielle ? Est-il élevé dans le sous-sol d’un bunker de l’Eglise de Scientologie ? Une histoire de fous ! Cruise paie l’addition du couch incident (l’affaire du divan). Pas celui d’un psy, quoique…
En mai 2005, il saute frénétiquement sur le canapé d’Oprah Winfrey, la présentatrice du plus célèbre talk-show américain, en hurlant : « Je l’aime, je l’aime, je l’aiiiiiiiiiiime ! » à propos de sa nouvelle compagne. Même le très sérieux « New York Times » consacre un article à cette scène surréaliste. Dans la foulée, Cruise reproche à l’actrice Brooke Shields d’avoir pris des antidépresseurs pour son baby blues, il vante la médecine naturelle comme Rika Zaraï n’aurait jamais osé le faire et compare la psychiatrie à une « expérience nazie ». En avril dernier, le scientologue déclare au magazine « GQ » : « Je vais manger le placenta du bébé, c’est très nutritif. » Il aura beau expliquer qu’il s’agissait
d’une plaisanterie, sa carrière a du plomb dans l’aile. « Mission : Impossible 3 » s’est planté. Désormais il la boucle.
Ses acolytes
La canicule, qui a également sévi en Californie, a frappé l’actrice Lindsay Lohan… âgée de 20 ans. Toujours en retard sur le tournage de son nouveau film, elle a prétexté « un coup de chaleur ». Son producteur lui a adressé une lettre ouverte, menaçant de la virer : « Nous savons pertinemment que c’est parce que vous faites la fête toute la nuit que vous êtes épuisée. » Depuis, la star montante est devenue la risée de Hollywood.
En 2001, Anne Heche, comédienne lesbienne et en vogue (« 7 jours, 7 nuits » avec Harrison Ford), est retrouvée en train d’errer dans les rues de Fresno, Californie, se croyant poursuivie par un ovni. Après un séjour en psychiatrie, elle se marie avec un homme et confie sa « renaissance » lors de la sortie d’un bouquin où elle dévoile les abus sexuels dans son enfance. La soucoupe volante, on ne sait pas, mais sa carrière, elle, s’est crashée.
En juillet 2000, Mariah Carey s’invite dans un show en direct de Times Square à New York. Dans un état second, elle distribue des glaces au public, ricane bêtement puis commence un strip-tease laborieux. C’est le début d’une descente aux enfers qui la mènera en psychiatrie. « The Voice » (« la Voix ») déraille et la presse s’acharne. Dépressive, boulimique, elle collectionne les bides et se fait larguer par sa maison de disques. En 2005, après s’être fait pardonner une « grosse fatigue », elle connaît la résurrection avec « The Emancipation of Mimi », plus grosse vente de l’année aux Etats-Unis. Alléluia !

Coups de fric

Bono : charité bien ordonnée

Le leader de U2 peut redouter ce que les Américains appellent le backlash, c’est-à-dire le retour de bâton. Alors que son groupe a récolté 217 millions d’euros de gains rien qu’en 2005, son leader Bono a transféré une partie de sa fortune aux Pays-Bas pour payer moins d’impôts. Pour le chantre du commerce équitable, inlassable pourfendeur de l’égoïsme des nantis, ça la fiche mal. Idolâtré aux Etats-Unis, il a épaté la galerie en se faisant inviter en 2002 par le secrétaire d’Etat américain au Commerce lors d’une tournée en Afrique, continent dont il est un grand ami. Bono, quintessence du charité business, a été élu « homme de l’année » par le magazine « Time » en 2005 et son nom a même sérieusement été cité par la presse pour présider la Banque mondiale. Bono au Brésil avec Lula, Bono à Davos, Bono en short… Bono est partout. Des millions de fans prient pour qu’il obtienne le prix Nobel de la paix 2006. A moins qu’il ne doive d’ici là expier son évasion fiscale.

Ses acolytes

Après un passage à vide, et quelques cures de désintox, le chanteur britannique Boy George, ex-leader androgyne de Culture Club, venait à peine de renaître de ses cendres à Broadway. Et badaboum ! Une fausse déclaration de cambriolage, et le voilà condamné par un juge new-yorkais à ramasser à partir du 14 août les ordures à Manhattan.
Des rôles au côté de De Niro ou Richard Gere, une nomination aux oscars… Tout allait fort pour Winona Ryder jusqu’au jour où elle fut arrêtée pour le vol de plusieurs milliers de dollars de fringues dans une boutique chic de Beverly Hills. Millionnaire cleptomane, son procès a créé l’événement en 2002. La tornade médiatique lui a valu la sympathie d’une partie de l’opinion. Le tee-shirt « Free Winona ! » (« Libérez Winona ! ») lancé par son comité de soutien est devenu un objet culte. L’actrice s’en est tirée avec une grosse amende.

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